Si l'immense majorité des 40 000 disparitions comptabilisées chaque année ne sont que de simples fugues ou disparitions volontaires rapidement élucidées, environ 10 000 cas sont considérés comme inquiétants, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur.
Or depuis avril 2013, les services de police ne prennent plus en charge les recherches de personnes qui se sont volatilisées sans inspirer d'inquiétude.
Ces centaines d'affaires recensées chaque année En France, et qui étaient prises en charge par les forces de l'ordre sont dorénavant caduques, selon une circulaire du ministère de l'Intérieur. (https://www.interieur.gouv.fr/Archives/Archives-des-actualites/2013-Actualites/Suppression-de-la-procedure-de-recherches-dans-l-interet-des-familles), indiquant en effet que cette procédure dite de « Recherche dans l'Intérêt des Familles » ne serait plus désormais prise en charge par les brigades et les commissariats, comme cela était le cas depuis la Première Guerre mondiale, (hormis les cas de disparitions inquiétantes).
Soucieux de cette difficulté, des inquiétudes légitimes rencontrer par de nombreuses familles. Nous mettons nos compétences à votre service que ce soit en matière de fugues, de disparitions volontaires ou involontaires, voire simplement en matière de recherche d'un membre d'une famille perdu de vue suite à des déménagements et autres aléas de la vie, ou dans les cas les plus graves en matière d'enlèvements parentaux, de Non-présentation d'enfants etc... Afin de vous apporter une solution et des réponses face à ces drames.
À noter
En matière de disparition de personnes majeures
1: En cas de disparition inquiétante d'un proche majeur, une enquête peut être ouverte par la police ou la gendarmerie. Une procédure spécifique existe si la personne a disparu à l'étranger.
Article 74-1 code de procédure pénale
Lorsque la disparition d'un mineur ou d'un majeur protégé vient d'intervenir ou d'être constatée, les officiers de police judiciaire, assistés le cas échéant des agents de police judiciaire, peuvent, sur instructions du procureur de la République, procéder aux actes prévus par les articles 56 à 62, aux fins de découvrir la personne disparue. À l’issue d'un délai de huit jours à compter des instructions de ce magistrat, ces investigations peuvent se poursuivre dans les formes de l'enquête préliminaire.
Le procureur de la République peut également requérir l'ouverture d'une information pour recherche des causes de la disparition.
Les dispositions du présent article sont également applicables en cas de disparition d'un majeur présentant un caractère inquiétant ou suspect eu égard aux circonstances, à l'âge de l'intéressé ou à son état de santé.
2: Si la disparition n'est pas jugée inquiétante, aucune enquête officielle ne peut être ouverte. Dans tous les cas, une personne majeure est libre de ne pas entrer en contact avec ses proches lorsqu'elle est retrouvée.
Dans ce cas, s’il est tout à fait possible de procéder à des recherches pour localiser une personne disparue, la divulgation des informations recueillies ne pourra se faire qu’avec le consentement de l’intéressé.
C'est pourquoi. Si la personne disparue refuse de renouer ou de faire savoir son lieu de résidence, ou de rentrer de nouveau en contact avec la partie requérante l'Agence Philippe Investigations propose à ses clients de remettre en main propre à la personne recherchée ou à toutes autres personnes en lien direct avec la personne disparue,(sous signature un pli scellé notifié confidentiel) dans ce cas précis et par sécurité un courrier recommandé avec accusé de réception sera envoyé en aval afin de garantir que la lettre a bien était remise. Ce pli contiendra un courrier du requérant dans lequel ce dernier pourra expliquer les raisons de sa démarche et ces coordonnées, afin de laisser le choix a la personne disparue de prendre une décision.
En aucun cas l'agence ne divulguera d'informations sans le consentement de la personne disparue.